Criminalité politique à l’Equateur : Bobo Boloko, Aselo Okito, Guy Loando Mboyo, Jean-Pierre Bemba, le Commandant PNC ai et le Directeur provincial de la DGM pointés du doigt par la Société Civile de l’Equateur

Dans une déclaration forte lue le lundi 27 septembre 2021 à l’issue d’une réunion élargie d’évaluation de la situation politique qui prévaut dans la province de l’Equateur, la société civile de la province de l’Equateur (SOCIPEQ) a dénoncé le banditisme, la sauvagerie et la criminalité politique qui sévissent dans la province de l’Equateur.

 » La Société civile dénonce le banditisme, la sauvagerie et la criminalité politique qui sévissent dans la province de l’Equateur entretenus par Monsieur BOBO BOLOKO BOLUMBU Alias BOBO et son clan barbare de ses députés provinciaux, du colonel de la police nationale congolaise Monsieur Guylain NYEMBO surnommé huitième député provincial par la population et garçon de course du Gouverneur de Province, du Directeur provincial de la DGM lesquels seraient favorisés d’après l’opinion publique par Monsieur ASELO OKITO Vice-premier ministre, Ministre de l’Intérieure, Guy LOANDO Ministre d’État en charge de l’Aménagement du Territoire et Jean-Pierre BEMBA GOMBO Président National du Mouvement de Libération du Congo MLC en sigle comme pour déstabiliser l’Equateur aux fins de leurs intérêts égoïstes et éhontés » a déclaré Barnabé BONGAMBO, le rapporteur de la Société civile de l’Equateur.

La société civile dit condamner la barbarie orchestrée contre le siège de l’Assemblée provinciale, lieu inviolable par la casse de son bureau administratif et de l’hémicycle au mépris total de la constitution, des lois de la République et du règlement intérieur de cette Institution, poursuit-il.

Cette organisation de défense des droits humains a fustigé ces actes qui se perpetrent comme s’il y avait un vide total du pouvoir au niveau de l’exécutif national et du parlement si s’en est la loi de Monsieur ASELO.

La SOCIPEQ a demandé au Président de la République, Chef de l’État et garant du bon fonctionnement des institutions, de relever rapidement de ses fonctions et sans autre forme de procès pour le salut de la population de l’Equateur et conformément à l’article 198 de la constitution Mr BOLOKO BOLUMBU alias BOBO pour permettre aux dossiers pendant près la cour de cassation d’évoluer ainsi réparer les préjudices énormes causées à la population de l’Equateur en particulier et à la RDC en général.
Elle a encore exigé le départ immédiat de tous ceux qui sont cités par l’opinion publique comme étant complices des actes décriés, notamment le commandant provincial a.i de la PNC, le colonel Guylain NYEMBO ; le Directeur provincial de la DGM/Eq, Jean-Pierre EKOTSI ; le Juge Mosard MOSAMBA président à la cour d’appel de l’Equateur ; le Procureur Général près la cour d’appel de l’Equateur.

La SOCIPEQ a encore condamné la complicité et attitude partisane des élus nationaux avec le destructeur et prédateur de l’Equateur BOBO et q exigé d’eux la prise de position sans ambiguïté sous peine d’être sanctionnés négativement aux élections futures

Elle a encore exigé l’invalidation par la plénière pour haute trahison des 7 députés provinciaux qu’elle considère des brebis galeuses et garçons de course du Gouverneur.

La Société civile a enfin réitéré son soutien aux actions de 13 députés provinciaux majoritaire sous le leadership de l’honorable Président Claude BUKA LOMPULO digne fils de la province de l’Equateur et les encourage à poursuivre sans désemparé leur action combien salvatrice pour la Province de l’Equateur et promette de les accompagner même au prix du sacrifice suprême, avant d’inviter la population à se mobiliser derrière les 13 députés provinciaux et à rester vigilante pour barrer la route aux ennemis de l’Equateur et à toute action tendant à déstabiliser l’assemblée provinciale, Première institution et compromettre ainsi la paix sociale

La Rédaction

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